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Merci Monseigneur de déniaiser les innocents !
Mais du coup, est-ce qu'avec si peu de matière la brasure n'est pas plus fragile ? N'y-a-t 'il pas une notion de surface d'accroche dans cette histoire ? Même si j'imagine que d'autres paramètres entrent en jeu (contact entre les pièces, préparation de la surface, homogénéité de la brasure, nature du substrat et du métal d'apport...)
Lee-
Put*** arrêtes. Je vais finir par croire que tu te moques. Déjà que je trouve je ramène un peu trop ma fraise ... mais comme on pose des questions ...
Et non, aucune raison pour que ce soit plus fragile avec moins de brasure - tant qu'il n'y a pas de vide - au contraire. La brasure est loin d'être le plus solide.
NB je ne fais que rapporter des ragots, mais autant certains de mes camarades de formation (AFPA, "classique") étaient de pauvres gars (sans connotation péjorative) plutôt toujours à "embellir" le récit de leur quotidien, autant le gars qui me racontait ça était "bien là", lui.
PS j'ai écrit compagnons parce que je pense j'en ai cotoyé dans les ateliers. J'écris je pense parce que certains étaient assez jeunes et avaient un talent certain et dans le même temps se vantaient plutôt moins que les autres ... (-;
ChopSauce
Au contraire, la brasure file dans les interstices. Tu peux difficilement faire plus fin, je pense.
Je me souviens d'un ciseleur que j'avais connu en formation de chaudronnerie, il m'avait expliqué qu'ils brasaient les fraises cassées, pour les réparer ... je te laisse imaginer !