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• #327
Oui justement avec moule en sable tu peux faire des pieces magnésium;)
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• #328
Génial j'adore Kirk alors une renaissance je suis pour 👍
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• #329
probablement une chiée à nettoyer mais je trouve ça plutôt sexy !
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• #330
Reprendre le procédé de chez Kirk est très intéressant je trouve.
L'aspect brut du moulage au sable rend très bien aussi (les goûts et les couleurs, parce que l'aéro...est-ce seulement un critère à ce niveau ? ptet pas).
Les essais de motif "balle golf" c'est une jolie tentative également (peut-être aéro, tiens ?).
Par contre la géométrie, c'est très très dommage.
Je serais curieux de savoir si c'est le procédé qui exige ces courbes, mais j'ai le sentiment qu'il y avait plus "rationnel" à faire.Très belle prouesse technique en tout cas ! Belle finesse
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• #331
A mon avis ici on doit être dans un entre-quatre de idée esthétique, performance de matériaux, souhait un peu aéro, et limitation de la procédure.
Comme toi la forme dans l'ensemble me plait moyennement mais c'est sympas à voir -
• #332
Vélo de démonstration Brose en fabrication additive.
https://www.mtb-news.de/news/3d-druck-mountainbike-formnext-2023/
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• #333
et + optimisation topologique
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• #334
Ils ne précisent pas le matériau... généralement ça veut dire polymère lambda non?
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• #335
Ça parle de plusieurs machines pour le métal, sans précisions.
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• #336
Ils utilisent un projecteur de laideur pulsé à priori.
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• #337
Après lui avoir fait faire une catalyse hypodermique de vomi ?
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• #338
Oui, je ne pense qu'il puissent faire autrement, sauf pour le double arceau rotatif qui semble fait en polymère de sarkozystes à franges, à confirmer.
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• #339
C'est pas trop des sarkozystes à franges qui développent ce genre de polymères, plutôt des mecs en chemisette Armand Thierry l'été et polaire l'hiver
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• #340
Ou des animaux préhistoriques partouzeurs de droite ?
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• #341
Des collègues ? 😁
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• #342
oui...
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• #343
Du coup c'est quoi les matériaux c'est secret défense?
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• #344
Pas de détails, "Brose utilise plusieurs imprimantes metal"
Brose wollte seinen E-Bike-Antrieb wohl nicht an einem normalen Fahrrad zeigen - nachdem die Franken einige Metall 3D-Drucker betreiben, bauten sie kurzerhand ihren eigenen Rahmen. -
• #345
Je pense qu'on est pas prêt pour l'esthétique des vtt du futur. Quand tu vois l'évolution sur 20 ans et les outils qui sont déjà là... Va falloir s'accrocher.
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• #346
Sauf que prendre du plaisir, pédaler, passer un obstacle, n'est pas corrélé au nombre de vitesses et tailles de suspensions.
Les imprimantes 3D ca me fait pas trop rever perso..
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• #347
Alu ou titane normalement, a priori il était chez FormNext, je les ai loupé 😅 après le vélo présenté ici est en polymère car les machines capables d’imprimer un si gros volume ne sont presque qu’en mise au point. Après ce sont peut être plusieurs morceaux soudés mais je ne vois pas les soudures :)
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• #348
L’impression 3D a les avantages de s’affranchir des cycles de fonderie, et de faire des ensembles intégrées, dans le vélo je ne vois pas trop l’intérêt a part pour des raccord fancy :) c’est plus de la branlette. C’est mon avis et mon exp qui parle
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• #349
La fabrication additive / impression 3D permets surtout d'obtenir des formes tout bonnement impossibles à réaliser par les procédés de fabrication soustractifs ou bien la fonderie. L'intérêt étant, par exemple, d'augmenter le nombre de fonctionnalités d'une pièce, ou alors de mettre de la matière exactement/uniquement là où elle est nécessaire comme dans l'exemple ci dessus.
Comme dit @v4.1 nous ne sommes pas prêt car ça fait plus de 100 ans qu'on s'est habitué à une certaine structure d'un cadre de vélo, on la trouve donc dorénavant esthétique. Néanmoins, ce n'est pas du tout ce qu'il y a de plus pertinent pour répondre aux sollicitations mécaniques. Ces formes, comme le simple double triangle par exemple, sont la résultante de contraintes de fabrication (tubes d'aciers disponible, techniques d'assemblage comme les raccords, etc.) mais on peut tout de même voir que ces formes ont bien évoluées grâce à l'arrivé des composites par exemple. Et les "nouvelles" (depuis les 1980s) technologies comme le design génératif ou l'optimisation de la topologie permettent d'aller dans la direction de conceptions qui s'approchent de l'efficience maximale atteignable, comme le vivant le fait déjà à coup d'innombrables essais-erreur (formes des arbres, des os du corps, des rivières, etc.).
Quelques images pour illustrer et un projet à découvrir.
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Kirk c'était du magnésium nan?