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Non, pas dans mon livre. Au TIG tu fonds le métal. Que tu apportes du métal ou pas dépend de la config. C'est toujours de la soudure.
Au brasage, tu chauffes un métal suffisamment - sans le fondre - pour que le métal d'apport fonde au contact du métal à assembler.
Le TIG chauffe très fort très localement. Je ne dis pas que c'est impossible de chauffer du métal sans le fondre, avec un TIG, juste que ce serait comme de prendre un bullit pour faire du trial - genre.
ChopSauce-
En baissant l'intensité c'est jouable, après tu dois aussi pouvoir jouer sur les réglages pour pas avoir trop de gouache.
https://youtu.be/EOeL7XC-eZg?t=105
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amha la brasure tig à son application quand on veut réduire au maximum la zone affectée thermiquement, sur des métaux tendres. autrement c'est un procédé plus qu'étrange. (le laiton ou l'argent n'ont pas besoin de couverture gazeuse, ils ont besoin d'une attaque du matériau pour accrocher, c'est à ça que sert la pate à braser)
Des conduites de boiler en cuivre, par exemple pourraient gagner du procédé.
sur un vélo, j'en avais causé avec un cadreur, qui à regardé à leur sujet et rejeté parce que le prix des baguettes est.. énorme, comparé à du 308/316i.
Celika
cosmo_the_second
Je n´ai jamais utilisé le procédé TIG mais selon l´usage on utilise une baguette de métal d´apport (lequel?) à la manière de la brasure (bain de fusion et métal d´apport).
Mais on peut aussi l´utiliser sans métal d´apport (un peu comme une soudure autogène?).
Dans le premier cas ça peut être confondu avec la brasure (baguette fine et position pour souder).